HR News

La méthode "Big Brother" arrive en Belgique : vous n'êtes plus anonymes, mais tous suspects!

Confidentialité des données personnelles : le gouvernement belge va-t-il faire mieux que la NSA ? Tous les fournisseurs d’Internet et entreprises de télécommunication vont dorénavant devoir conserver durant un laps de temps indéterminé et une année au moins la liste de toutes les opérations effectuées par leurs clients. Ceci inclut : l’intégralité de vos communications que ce soit les mails, SMS ou communications téléphoniques, votre historique de navigation sur le web, vos téléchargements, vos moyens de paiements électroniques utilisés, les réseaux Wi-Fi que vous utilisez, depuis quelle serveur, et même l’endroit où vous achetez une carte SIM. Avec l’entrée en vigueur de cet arrêté royal du 8 octobre 2013 publié par le ministère de l’économie et de la justice du gouvernement belge, l’accès officiel à vos données privées sera donné aux forces de l’ordre et à la justice, mais aussi aux services de renseignement militaire ou encore au service de médiation des télécoms. La raison invoquée ? La  lutte contre le terrorisme et la criminalité.

La protection de la vie privée et des données utilisateurs en danger ? Certains répondent par « Mais en quoi est-ce une gêne si vous n’avez rien à cacher ? » Raf Jespers, avocat et auteur du livre Souriez, vous êtes fichés. Big Brother en Europe, écrivait dans le quotidien flamand De Standaard du 12 juin « Ce que Vande Lanotte et Turtelboom ont amorcé, c’est l’attaque la plus grave jamais commise contre la vie privée. On ne fait plus de distinction entre les citoyens coupables et innocents. Chaque citoyen est un terroriste ou un criminel potentiel. La présomption d’innocence, un principe sacré dans un État de droit démocratique, ne compte plus. Les droits civiques fondamentaux, comme la liberté d’expression, la liberté de la presse ou le droit de s’organiser librement, se retrouvent dans le collimateur. »

Lire l’article « La fin de l’anonymat pour les internautes belges » qui propose aux anglophones la lecture de l’article « Why ‘I Have Nothing to Hide’ Is the Wrong Way to Think About Surveillance »

Happiness@work: le nirvana ou impossible?

Des employés heureux sont vecteur de performance pour les sociétés : ils se soucient de la qualité de  leur travail, sont moins souvent absents, moins stressés et moins enclin au burnout. Mais est-ce que le bonheur au travail est réellement possible  lorsque l’entreprise ne se soucie pas de ses employés ou que le travail les mine? Bonne question.

Lire l’article “How to be happy at work-despite that jerk boss”

Plus de conseils dans “Happiness at Work: Be Resilient, Motivated and Successful – No Matter What”  du Prof. Srikumar Rao, créateur du CPM, Creative & Personal Mastery, qu’il enseigne entre autres à l’Université de Columbia et la London Business School.

RH dans les entreprises: mal connues et critiquées pour leur manque de communication et de pédagogie

Comment la fonction RH est-elle perçue par les salariés ? Voici la question à laquelle s’est attaqué le dernier sondage OpinionWay – LabRH mené auprès de 801 salariés français. Résultats? Les RH semblent mal connues et critiquées pour leur manque de communication et de pédagogie envers les collaborateurs de l’entreprise. Néanmoins les salariés des plus petites entreprises sont les plus satisfaits de la politique RH de leur entreprise:  deux tiers des salariés (69%) se disent satisfaits de la politique RH de leur entreprise contre 49% des salariés des grandes entreprises.

Lire l’article “RH, les salariés ne vous connaissent pas!”
Plus d’informations sur l’étude OpinionWay-LabRH

 

 

Creating a workplace that encourages friendship can give your company a competitive edge

Behind that veneer of workplace confidence, your co-workers and even your boss may harbor serious doubts about their closest relationships. That’s the finding of a groundbreaking study released today, The State of Friendship in America Report, 2013, which sheds new light on the dire social landscape facing adults across the country. Key findings include:

  • Less than a quarter of Americans say they are truly satisfied with their friendships and almost two-thirds lack confidence in even their closest friends.
  • Gen-Xers and Baby Boomers are hit hardest by the trend, indicating a “mid-life friendship slump.”
  • Most Americans – by more than 2-to-1 – would prefer to have deeper friendships, rather than more friends.

The study’s authors have uncovered what they call a national “friendship crisis,” and they believe it has far reaching implications in the workplace. “Friendship is a major dynamic in people’s lives and nobody just leaves it back at home,” said Tim Walker, co-founder of Lifeboat, the group behind the report. ”We now have a scientific view of a very emotional struggle that adults report having as they try to connect with each other in the digital age.”

For managers, colleagues, marketers and HR professionals, it’s a very relevant question. Traditionalists argue that pals have no place at the office for a number of reasons. Friendship between colleagues can blur decision making, they say, making difficult decisions more complicated and leading to distractions or inappropriate behavior. How can someone operate in the best interest of the company if they’re also worried about a vital friendship – particularly when it comes to performance reviews or layoffs?

Read the full article ” Debunking The ‘No Friends At Work’ Rule: Why Friend-Friendly Workplaces Are The Future”
Look at the Infographic

Future of job boards: quality and precision of searches becomes more and more important

Everyone seems to agree that generalist large scale job boards are in trouble, and others are profiting. The decline of the Monster share price to below five dollars, parallel to the success story of LinkedIn stock, and the recent valuation of Indeed.com nicely illustrates these shifting dynamics. Generalist job board revenue per posting is declining, and they are facing tough competition from smaller niche job boards, job aggregators, and social networks. Will job boards remain relevant in recruitment?

The main question is not whether job boards are relevant, but whether their search results are relevant for their users. Do job seekers find the job they want, and do employers find the candidates they need? It is a simple equation of attention andrelevance, and currently the competition happens to play a better card on both aspects.
Read the full article “Are Job Boards Still Relevant for the Future of Recruiting?