Author: Redaction e-thicHR

L'ennui vous mine… Et si vous passiez au job crafting ?

Mêmes têtes, mêmes rituels, mêmes obstacles. Sans perspective d’évolution, au-dedans comme au dehors de l’entreprise, vous tournez en rond comme un lion en cage… Remodelez votre job de l’intérieur ! C’est le conseil de Jean-Michel Rolland, consultant en management et enseignant à l’Isen (1). Décryptage.

Par Marie-Madeleine Sève pour LEntreprise.com Continue reading

Comment tuer son Boss? (Fiction ou réalité)

Avec les best-sellers tels que “Horrible Bosses” et “L’Open Space m’a tué”, sans oublier la télévision avec “The Office”, il est clair que les boss “inhumains” occupent une place prépondérante dans les médias. Ce battage médiatique est-il justifié ? Sommes-nous face à une épidémie de ce genre de patrons dans les entreprises ?

Trois employés sur quatre ont un boss horrible

Par L’essentiel Online/cgo

Avoir un supérieur incompétent, ce n’est pas seulement désagréable. Cela coûte beaucoup d’argent aux entreprises, car 30% des collaborateurs sont moins productifs quand leur boss les insupporte.

httpv://www.youtube.com/watch?v=HQob0RL2l3w

Le film «Horrible Bosses», avec Jennifer Aniston et Kevin Spacey, illustre parfaitement à quel point le travail avec un mauvais manager devient pénible et démotivant. Et quand un collaborateur n’est plus motivé, c’est la productivité qui en prend un coup.

Le site américain Inc. a mené l’enquête et les résultats du sondage sont assez effrayants. Trois employés sur quatre ont déclaré que leur boss est horrible et qu’il ou elle est la plus importante source de stress dans leur travail.

65% d’entre eux ont reconnu qu’ils préféreraient avoir un nouveau chef plutôt qu’une augmentation de salaire. L’enquête révèle que ce qui pose problème aux collaborateurs d’une entreprise, ce n’est pas ce que font leurs supérieurs, mais plutôt leurs manquements.

Le top 5 des pires défauts des chefs cités par les sondés? Il n’insuffle pas l’inspiration, il tolère la médiocrité, il n’a pas de vision ni ne donne une direction claire, il est incapable de travailler en équipe et enfin, il n’applique pas à lui-même ce qu’il exige de ses subordonnés.

Par L’essentiel Online/cgo

"Les patrons qui ont connu des discriminations restent des étrangers"

Propos recueillis par  (lexpress.fr)

Fils d’immigrés, femmes, handicapés, autodidactes… Les patrons “atypiques” dirigeraient différement, en mettant à distance certaines conventions de l’entreprise. Le sociologue Norbert Alter leur consacre un ouvrage.

La différence est-elle une force? Pour son dernier ouvrage*, le sociologue Norbert Alter, professeur à Paris-Dauphine, a longuement rencontré des “patrons atypiques”Femmes,handicapéshomosexuelsdescendants d’immigrésautodidactes… Tous ont en commun de s’être un jour sentis différents, voire discriminés, et toujours étrangers au profil type du chef d’entreprise. D’après le chercheur, ce sentiment persistant les inciterait à manager autrement, en prenant leurs distances avec les conventions sociales qui régentent le monde du travail. Interview.

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