La DRH : une fonction stratégique, noble, ouverte, polyvalente… mais mal aimée. Oui et elle reste très mal aimée, comme le constate Thierry Delorme dans son article “Ne dites pas à ma mère que je suis DRH… Elle me croit Business Partner!” . Il écrit ” Et le « DRH bashing » (en gros le dénigrement collectif) s’est vite invité dans la danse et sur les médias sociaux. Dès 2004, le premier baromètre social de la Cegos gratifiait les DRH du plus mauvais score d’opinion auprès des salariés d’entreprises privées. 2012, même punition avec la Radioscopie des DRH. 2013, sortie de « DRH, le livre noir », dossier à charge contre les méthodes et les pratiques (supposées) mises en œuvre…
Et pourtant, DRH, voilà un métier noble qui devrait attirer de jeunes générations “Une fonction qui est passée de l’ombre à la lumière en quelques années”, écrit Thierry Delorme. “Fini le chef du personnel ! Vive le Chief human resources officer voire même le Business partner. Avouez que ça a une autre allure, non ? Certes, c’est encore insuffisant pour se faire une place dans le top 10 des métiers les plus sexy aux yeux des hommes comme à ceux des femmes, mais il y a du mieux.”
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