Author: Redaction e-thicHR

LinkedIn Intro? No thanks. My data security & privacy are too important

LinkedIn on Thursday faced criticism from security experts and confusion from members over the just launched new software product that embeds public LinkedIn profiles into emails received by iPhone users. By using this new product, LinkedIn members don’t have a choice to opt out of having others see their account information attached to an email they send. Rather than your iPhone connecting directly to your email provider’s servers (Gmail, Yahoo, etc), it will be connecting via LinkedIn’s proxy server instead – which will act as a middle-man in your email communications. LinkedIn will then look at your email messages, and insert Intro information into each one. Another concern: the privacy statement for the software suggests LinkedIn does hold on to some of the data it collects when people use the service. It reads: “If you are not connected with the person on LinkedIn, we may later suggest them as a connection on the LinkedIn website and in our other mobile apps.”

Think twice before using LinkedIn intro and read this article on the Bishop Fox Company Blog « LinkedIn “Intro”duces Insecurity »
 

Etre salarié 2.0 : un peu, beaucoup ou pas du tout ?

Comment concilier le désengagement des entreprises face à l’emploi et à l’individualisation des parcours professionnels avec des pratiques participatives, qui peuvent, dans certains cas, dépasser le cadre même de l’entreprise ou du contrat de travail ?

Les directions d’entreprise s’interrogent sur comment proposer auprès de leurs salariés des démarches de coopération et de partage différentes des objectifs du Knowledge Management, très en vogue au début des années 2000. L’article « Pourquoi serais-je un salarié 2.0 ? » nous fait réfléchir et soulève de nombreuses questions.

Comment engager, motiver des salariés à formaliser pour l’entreprise ses connaissances et ses compétences, à représenter ou relayer l’entreprise dans ses actions de promotion ou de recrutement sur des réseaux sociaux alors que tous les salariés savent qu’ils ne sont que de passage dans l’entreprise, une boîte dont le couvercle reste désormais ouvert…

Comment un salarié peut-il promouvoir une image employeur en 2010 pour la société X et en 2013 pour la société Y, sachant que tout ce qu’il aura écrit sera retenu par les moteurs de recherche ?

Que faire d’un blog individuel d’un collaborateur soutenu par l’entreprise et vaisseau de sa stratégie de visibilité sur le Web, voire de veille, dont les contenus sont alimentés par ses missions quotidiennes formalisées par un contrat de travail, si demain il ira travailler pour une autre entreprise ?

Pourquoi un salarié aurait-il envie de partager ses connaissances et ses expériences, de les inscrire durablement dans un système d’information interne ou externe, prendre du temps à échanger sur des sujets professionnels avec d’autres personnes internes ou externes au-delà de son périmètre d’équipe et d’action, recruter pour son employeur dans son réseau personnel direct ou élargi donc susciter l’engagement d’une autre personne dans une entreprise dont il connaît les avantages et les inconvénients ?

Et si par contre les salariés n’avaient plus le choix pour des raisons formelles ou informelles ? Faut-il rechercher du côté des directions d’entreprise les dispositifs crédibles qui motiveront les salariés à jouer le jeu de l’entreprise participative ?

Découvrez  les réponses et l’analyse dans  « Pourquoi serais-je un salarié 2.0 ? », article écrit par Marie-Pierre Fleury ainsi que l‘infographie « Salarié 1.0 vs.alarié 2.0 » de Laurent Assouad.

La méthode "Big Brother" arrive en Belgique : vous n'êtes plus anonymes, mais tous suspects!

Confidentialité des données personnelles : le gouvernement belge va-t-il faire mieux que la NSA ? Tous les fournisseurs d’Internet et entreprises de télécommunication vont dorénavant devoir conserver durant un laps de temps indéterminé et une année au moins la liste de toutes les opérations effectuées par leurs clients. Ceci inclut : l’intégralité de vos communications que ce soit les mails, SMS ou communications téléphoniques, votre historique de navigation sur le web, vos téléchargements, vos moyens de paiements électroniques utilisés, les réseaux Wi-Fi que vous utilisez, depuis quelle serveur, et même l’endroit où vous achetez une carte SIM. Avec l’entrée en vigueur de cet arrêté royal du 8 octobre 2013 publié par le ministère de l’économie et de la justice du gouvernement belge, l’accès officiel à vos données privées sera donné aux forces de l’ordre et à la justice, mais aussi aux services de renseignement militaire ou encore au service de médiation des télécoms. La raison invoquée ? La  lutte contre le terrorisme et la criminalité.

La protection de la vie privée et des données utilisateurs en danger ? Certains répondent par « Mais en quoi est-ce une gêne si vous n’avez rien à cacher ? » Raf Jespers, avocat et auteur du livre Souriez, vous êtes fichés. Big Brother en Europe, écrivait dans le quotidien flamand De Standaard du 12 juin « Ce que Vande Lanotte et Turtelboom ont amorcé, c’est l’attaque la plus grave jamais commise contre la vie privée. On ne fait plus de distinction entre les citoyens coupables et innocents. Chaque citoyen est un terroriste ou un criminel potentiel. La présomption d’innocence, un principe sacré dans un État de droit démocratique, ne compte plus. Les droits civiques fondamentaux, comme la liberté d’expression, la liberté de la presse ou le droit de s’organiser librement, se retrouvent dans le collimateur. »

Lire l’article « La fin de l’anonymat pour les internautes belges » qui propose aux anglophones la lecture de l’article « Why ‘I Have Nothing to Hide’ Is the Wrong Way to Think About Surveillance »

What makes you feel good about your work?

In his New York Times bestseller, Great Work, David Sturt asserts that most of the fulfillment we experience comes not from finding that one-in-a-million position, but in making a difference in the job we already have. For him « making a difference » is the key to most employee engagement issues in the world. No matter where you live or who you are, you need to feel you are adding value to something bigger than yourself. If you don’t, a lack of self-worth will quickly lead to depression and disengagement, he says. Furthermore, the behavioral economist Dan Ariely made several experiments and concluded that the basic human need to feel that their work mattered had a massive impact on how engaged they were in their job and the results they delivered.

What’s your opinion? What motivates you to work?

Read the full article written by HR Executive Louis Efron « Do you have to change jobs to find happiness? » and the infographic « Work engaged, Work inspired »

Want to know more? Have a look at the presentation of two eye-opening experiments that reveal our unexpected and nuanced attitudes toward meaning in our work, the TED video with the behavioral economist Dan Ariely « What makes us feel good about our work? »

Could we learn from the Swiss to be happy@work?

Reports from the OECD and the UN suggest that Switzerland’s citizens regularly rank amongst some of the happiest in the world. So could we all be happier at work if we were a bit more Swiss? A recent article in the Guardian pointed out that according to the OECD world happiness rankings, the average Swiss citizen works 1,632 hours a year, 144 less than the world average. The average wage is $7,000 more than the world average and it seems the first rule of working more Swiss is do less for more. Could this be the lesson we could learn form the Swiss to be happy@work? Nicola Mendelsohn famously became Facebook vice-president for EMEA on a four-day week, but can it work for the rest of us? Is it the Swiss neutrality which makes them cheerful during their working hours or the high connectivity of its citizens?

If you want to find out more, read the article written by Harriet Winter “Happiness at work: what we can learn from the Swiss”