Par Express.be
Les DHR sont particulièrement préoccupés, en ce début d’année, par le recrutement de cadres dans ce contexte de tensions. La crise impose de bien réfléchir avant de recruter, mais également, une fois la décision prise, qu’elle soit la bonne. Une erreur de recrutement n’est en effet pas sans conséquences. Car définir le poste, passer les annonces, les entretiens, former, intégrer, licencier éventuellement et relancer le recrutement, tout cela a un coût qui peut aller de six mois à un an de salaire. Sans parler des conséquences non financières : dégradation du service, perte de contrats, altération de l’image vis-à-vis de la clientèle. En interne, de plus, les conséquences sont notables : réorganisation forcée, charge de travail accrue en attendant le remplaçant…