HR News

The Future Of Coworking And Why It Will Give Your Business A Huge Edge

BY LYDIA DISHMAN

Here are the numbers that support the case for coworking–and why it’s not just for startups or freelancers anymore.

Fun. Friendly. Inspiring. Collaborative. Productive. If you wouldn’t define your workplace with any or all of those terms, you may have to ditch your own desk and take a seat at a coworking space near you. Even if you aren’t an entrepreneur or freelancer, the benefits of coworking, according to Deskmag’s annual Global Coworking Survey, are pretty hard to ignore: 71 percent of participants reported a boost in creativity since joining a coworking space, while 62 percent said their standard of work had improved.

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Les moins de 30 ans préfèrent les startups aux grandes entreprises, selon une étude

Par commentcamarche.net

Selon une étude menée par PayScale aux Etats-Unis, les travailleurs issus de la Génération Y seraient peu représentés dans les grandes entreprises, préférant aux groupes les startups et PME, dont l’environnement de travail est jugé “plus flexible”.

“L’indomptable Génération Y” boude les grandes entreprises au bénéfice des PME et startups : c’est le principal résultat d’une étude réalisée aux Etas-Unis par PayScale, un cabinet d’étude spécialisé dans les problématiques de management.

Selon les résultats de celle-ci, 47% des salariés de moins de 30 ans seraient embauchés dans des entreprises de moins de 1500 salariés, 30% travailleraient dans des entreprises de 100 à 500 salariés, et seulement 23% des Gen Y travailleraient dans un grand groupe (plus de 1500 salariés).

D’après l’analyse de PayScale : les jeunes salariés plébisciteraient les petites structures “pour leur flexibilité, la possibilité d’y exprimer leur esprit d’entreprise, ou encore d’utiliser les réseaux sociaux sans règles d’utilisation strictes imposées par leur employeur”.

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Can Money Buy Happiness?

We often hear it, but how true is the phrase ‘Money can’t buy happiness’? Is there a correlation between the two, and if so, what can we learn from it? It turns out, if you think money and happiness are exclusive, you simply aren’t spending it right.

httpv://www.youtube.com/watch?v=JSIkdWxotKw

Written and created by Mitchell Moffit (twitter @mitchellmoffit) and Gregory Brown (twitter @whalewatchmeplz).

La génération Y façonne autrement son parcours professionnel

Les Gen Y cherchent constamment à développer leurs compétences…

Par Valérie Landrieu avec Marie-Sophie Ramspacher (business.lesechos.fr)

On les appelle « echos boomers », « génération Internet », « génération Moi », « millenials »… Les entreprises les disent plus complexes à gérer que leurs aînés.

« De base, j’aime pas trop qu’on m’inclue dans un groupe, sans rien me dire. Déjà. » Le ton est donné avec le vidéo bloggeur Hugotoutseul, qui illustre avec dérision le côté supposé rétif de sa génération, dite Y.

Après plusieurs années de publications diverses consacrées aux caractéristiques de ces jeunes nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990, on pouvait raisonnablement imaginer que les « Yers » – c’est le nom qu’on leur donne – constituaient une problématique mobilisatrice pour les entreprises alors que, déjà, surviennent les premiers Z, ces représentants de la génération « Petite poucette » du philosophe Michel Serres. C’est toujours le cas et rien n’est encore résolu. Les nombreux colloques et manifestations professionnelles qui continuent de se tenir çà et là traduisent même une incompréhension persistante entre les entreprises et les nouveaux arrivants. « Ils ont un rapport au travail que les personnes de ma génération ont parfois du mal à appréhender », lâche sans acrimonie Xavier Segrestin, responsable des solutions de recrutement chez Futurestep (Korn Ferry). Quoi qu’il en soit, « le terreau de départ est bon : ils entraînent les managers à repenser la manière de diriger », souffle Jean-Louis Raynaud, directeur de l’Advanced Management Program de l’Edhec.

Il n’y aurait pas de péril jeune, mais quelques points à apprécier.

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L’intelligence émotionnelle dans l’environnement professionnel

Par Jose Luis del Campo Villares

Pensez-vous qu’une gestion adaptée de l’intelligence émotionnelle au sein d’une organisation contribuerait à son bon fonctionnement ?

Pour beaucoup, l’intelligence émotionnelle reste un concept vague, que l’on entend parfois, mais qu’il serait bien difficile de définir en termes précis. Je suis tombé sur la définition d’intelligence émotionnelle formulée par Daniel Goleman que je trouve particulièrement adaptée : il l’identifie comme la capacité à reconnaître nos propres émotions et celles d’autrui, et à savoir s’automotiver pour contrôler ses émotions et celles de ceux qui nous entourent.

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