Author: Redaction e-thicHR

Do race and ethnicity trump gender in pay gap?

In 2013, American women made 82 cents to every dollar a man made and 80 cents to every dollar made by a white male; up from 79 cents and 77 cents, respectively, in 2012, according to the Bureau of Labor Statistics. However, white and Asian people, regardless of their gender, make more than blacks and Hispanics – regardless of their gender.

Deborah Ashton, Vice President and Chief Diversity officer at Novant Health, publishe on HBR Network Blog an interesting analysis about wage gaps, plural trying to answer to the question “Does Race or Gender Matter to your Paycheck? Her conclusion: Asian women with bachelor’s and advanced degrees are the only women who make more than one group of men–black men, who earn the least in comparison to their male counterparts at every level of education.

 

This chart exposes one other important myth: that companies have to pay more for talented women of color. In discussions of affirmative action cases and throughout my career, I have heard both from right-wing bloggers and middle-of-the-road human resources professionals that a premium is paid to attract and retain women and minority talent and especially, women of color. The central argument is that because there are assumed to be so few “qualified” candidates who are both female and nonwhite – and because companies can count women of color towards multiple diversity targets — competition for those candidates means they end up with significantly higher salaries. Setting aside the question of whether there is, in fact, a shortage of qualified women of color, it should by now be obvious that those women aren’t getting paid a premium. In fact, black and Hispanic women vie for last place on the earnings pyramid at every level of education, and the gender pay gap actuallyincreases with higher education for black, white, and Hispanic women.  Routinely, when pay equity analyses are done for corporations, the employees whose actual salaries are greater than two standard deviations higher than their predicted salary (based on job-related variables such as market value, time served, and performance ratings) are white men.

Read the full article written by Deborah Ashton “Does Race or Gender Matter to your Paycheck?”

 

Le management védique

Si le fossé entre générations ne fait pas de doute, cette situation est-elle si nouvelle que cela ? « Les jeunes d’aujourd’hui aiment le luxe, ils sont mal élevés, ils méprisent l’autorité et n’ont aucun respect pour les anciens » affirmait déjà Platon dans la République, un ouvrage qui remonte à 372 avant Jésus Christ ! Depuis, seul l’environnement a changé. La génération Y est arrivée sur le marché du travail au moment de la mise en place des 35 heures et au moment où la guerre des talents commence à balbutier. On a promis de lui laisser la place des baby boomers, mais on ne lui a proposé que des stages mal rémunérés encadrés par des CDD sans fin. « Pas étonnant dans ces conditions que leur rapport au travail ait changé » rétorque Marc Low. Même si certains de ses comportements peuvent choquer, la génération Y n’a pas que des défauts. Le professeur Luc Quoniam, chercheur à l’Université de Paris VIII estime qu’ils sont observateurs, curieux, intuitifs, imaginatifs et flexibles. Ils s’adaptent plus facilement au bouleversement de l’espace-temps par les nouvelles technologies. Ils trouvent normal d’avoir des réponses à leurs questions en temps réel ou d’être ami avec n’importe qui aux quatre coins de la planète. Ils sont dans une recherche permanente afin de donner un sens à leur vie. Cette génération moins docile a-telle sa place dans l’entreprise ? La culture de l’entreprise saura-t-elle évoluer pour les intégrer ? Les managers actuels sont-ils prêts à accompagner cette mutation ?

Selon Jo Cohen*, les connaissances issues du Véda apportent une solution durable à ces difficultés, à commencer par la méditation transcendantale qui développe le leadership des managers en leur permettant d’être plus à l’écoute, plus flexible et plus prompt à s’adapter aux situations nouvelles. En quête de sens dans leur vie, les personnes de la génération Y auraient tout à gagner en pratiquant eux-mêmes la méditation transcendantale. Elle leur permettra aussi de ne plus ressentir d’ennui. La génération Y gagnerait aussi à mettre à profit les conseils de l’Ayurvéda car, une grande partie de leur impatience et de leur arrogance vient d’un déséquilibre de Pitta et leurs habitudes de vie (arrivée tardive au bureau) d’un déséquilibre de Vata. En favorisant un nouvel équilibre par le biais des technologies issues du Véda, le fossé entre les générations risque de disparaître rapidement.

Lire l’article “Manager la génération Y de manière simple et durable”

*Journaliste, consultant, animateur des blogs Management Védique

La recrue idéale? Un "caméléon"

Jusqu’à maintenant, les entreprises cherchaient des moutons à 5 pattes. Dans un avenir proche le salarié idéal ressemblera plutôt à un caméléon. « Le changement des métiers qui se profile sera massif », prévient l’étude réalisée avec l’institut CSA. Basée sur le point de vue d’une trentaine d’experts et l’analyse des compétences les plus recherchées par les entreprises, cette enquête dresse le profil du salarié idéal de demain, vu par les employeurs. Et à quoi ressemblera cet employé-modèle ? A un caméléon qui saura s’adapter au changement permanent. Quant à ses compétences elles seront autant comportementales que techniques pour résoudre les problèmes et travailler en équipe. 

Recrues adaptables
Les compétences comportementales sont le marqueur du salarié caméléon qui pourra tracer son chemin dans la jungle. Ce nouvel avatar est déjà une cible de choix des employeurs aujourd’hui. « Les entreprises cherchent des recrues adaptables, capables de faire face à la volatilité de l’environnement économique qui est devenu la norme » rappelle l’enquête.

salarié caméléon

Autre changement majeur qui est déjà à l’oeuvre : certains métiers techniques sont en train de se diluer et deviennent des compétences transverses à plusieurs postes : la gestion de projet, la connaissance des logiciels et même la dimension achats deviennent des pré-requis pour différents postes. On peut citer la maîtrise de progiciels de gestion intégrés (ERP) ou même le sens du e-commerce qui capillarisent au-delà des postes de spécialistes. Pour suivre ces évolutions, le salarié devra encore se muer en caméléon pour ne pas rester coincé dans sa branche.

compétences caméléon

 

Emergence de nouveaux métiers
En parallèle de nouveaux métiers émergent. Pour suivre cette révolution, l’enquête se base sur les intitulés de postes des profils sur les réseaux sociaux professionnels. Un indicateur comme un autre qui a ses limites mais qui donne quand même des tendances intéressantes. Deux grandes familles de métiers semblent ainsi se développer en ce moment : les fonctions dont le rôle est de nourrir la marque ou la vendre et les métiers du soin et de la santé de la personne.

De nouveaux métiers sont nés, (data scientist, data miner, brand coordinator, social media strategist) pour des profils « caméléons » aux compétences multiples et transverses.

Nouveau monde du travail
Dernière révolution et non des moindres, les manières de travailler dans le temps et dans l’espace sont elles aussi bouleversées. C’est tout l’environnement professionnel qui est en train de changer : les outils de communication à distance, comme les smartphones, facilitent le travail à distance et rendent plus flexibles les horaires. Le télétravail se développe, y compris en France. « Au-delà de la durée du travail, le lieu du travail est également bousculé, les technologies numériques rendant possible le travail à distance. La France compterait ainsi 12% de télétravailleurs, un chiffre encore inférieur aux 25 à 30% observés dans les pays scandinaves et anglo-saxons » indique l’étude.

Pour en savoir plus, lire l’article “Bienvenue dans l’ère du salarié caméléon” et l’enquête “La révolution des métiers” , Ernst&Young France et Linkedin avec Institut CSA

Big Issue in Business: Diversity, Inclusion & Culture

Diversity is a big issue in business organisations today. Google revealed that only 17% of its technical professionals are women, only 21% of its leadership are women, and blacks and Hispanics make up only 2% and 3% respectively of their workforce. 72% of leadership roles are held by whites with Asians holding 23% and other minorities holding less than 6%.

While it’s easy to blame leadership or assume bias, the reality is that building a diverse organization is dauntingly complex. First of all, we all suffer from “unconscious bias” (Take the Harvard Implicit Bias test if you don’t believe me). So no matter how hard we try, there is a tendency for people to be attracted to people “like themselve.”, says Josh Bersin. Latest Bersin by Deloitte research shows that leading organisations increasingly view diversity and inclusion as a business imperative.

But beyond this, while companies have a variety of programs (interviewing and hiring guidelines, employment branding programs, employee resource groups, mentoring programs) to help managers and team leaders build a diverse workforce – but it takes time and significant effort to change. The recent research of Bersin by Deloitte, High-Impact Diversity and Inclusion, found that while 71% of organizations publicly aspire to be highly diverse, when you look at their work environment only 11% are.

The brief Diversity and Inclusion Benchmarking Report provides key benchmarks and guidance to help Diversity & Inclusion (D&I), HR and talent leaders make valuable investment decisions. The research found that while D&I emerged in response to federal guidelines in the 1960s,over the past five years  more than half (51 percent) of organizations have only  progressed beyond a compliance-driven approach to focus on D&I strategies that link to better talent and business outcomes. In addition, more than half (54 %) of organizations still do not have a D&I function or have one that is staffed solely with volunteers.

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Building Irresistible Workplaces

Are we creating a workplace which lets people thrive? In most cases, not yet, says Josh Bersin*. His research, just completed, found a tremendous gap in the area of workforce engagement, stress, and overload. 79% of businesses are worried seriously about engagement and retention (it is their #2 issue after leadership) and two-thirds of business leaders cite “the overwhelmed employee” as a top business challenge. And Gallup research shows that globally only 13% of employees are highly engaged at work.

While most companies haven’t dealt with this issue, some have. Fortune’s Best Companies to Work For have built amazing workplaces — environments where people literally line up to apply for jobs. These organizations have created what we call a Simply Irresistible™ workplace. They not only attract great people, they also create an environment where people can truly thrive.

Josh Bersin concluded there are five key elements of the Simply Irresistible™ organization.

1. Meaningful work
The first and perhaps most important challenge is to give people “good work.” Jobs must give people enough autonomy to be creative and enough time to perform well. Even call center workers want time to learn, improve, and help customers.

2. Great management
Management is one of the most important parts of any organization, and companies have to develop and support great leadership.

3. Growth opportunities
Among the many reasons people leave companies, one of the biggest is for lack of opportunity.

4. An inclusive, flexible, fun environment
Companies that have ping pong tables, free food, and flexible vacation time show that they care. These benefits are fairly inexpensive to provide and they give people the freedom to work as they want to work.

5. Leadership we can trust
The fifth element is inspirational leadership. The days of the hard-nosed, profit-obsessed CEO are slowly coming to an end. While most businesses expect people to work hard, CEOs now realize that it’s the soul of the business that inspires people to contribute.

Were do you stand? Does your company have a mission you can relate to? Do your leaders trust employees to make the right decisions? Do you offer a workplace which lets your people thrive?

Read the full article “Five Elements Of A ‘Simply Irresistible’ Organization” written by *Josh Bersin, Founder and Principal at Bersin by Deloitte, leading provider of research-based membership programs in human resources (HR), talent and learning.