Comment Google préempte les talents d'après-demain
Par Maxime Verner.
On croit connaître Google. Le géant de… tout, et un plus que tout. Le maître du Web, sur tous supports, mais aussi du séquençage d’ADN (via 23andMe) ou encore l’extraction des métaux précieux des astéroïdes (via Planetary Resources).
La première marque employeur du monde dévoile ces derniers mois de plus en plus sa mission première. Ce n’est pas celle du « cool » que l’on a bien voulu présenter ces dernières années, mais celle de la concentration des talents, du réseau de l’intelligence connectée et globalisée. Devenir un Googler, c’est la croix et la bannière. Une quinzaine d’entretiens, parfois à des milliers de kilomètres… Pourtant, année après année, les jeunes potentiels rêvent de plus en plus de Google !
The Key to Changing Organizational Culture
By John Kotter.
The Boston Globe just ran a front-page story in their “Ideas” section on organizational culture, inspired by some depressing events involving the Boston University hockey team. It was much more impactful than the average writing about culture, and raised the important question: Why do conversations about an important topic like culture typically go nowhere, leading companies to waste time and money with “cultural change efforts” which very seldom work?
Here is the problem: First, virtually no one clearly defines what they mean by “culture,” and when they do they usually get it wrong. Second, virtually no one has read the original research that shows why culture — when clearly defined — is so important, how it is formed, and how it changes.
Should we Distribute HR Into the Business?
By Josh Bersin
Today we see an explosive change in the world of work: people work remotely with high degrees of connectivity, companies are globalized and organizations are flatter, employees are less engaged than ever, and talent markets are rapidly changing.
Is it time for a whole new model for HR?We think the answer is yes.
We are completing several years of research into the modern High-Impact HR Organization and we have uncovered some very significant findings.
(Come to IMPACT 2013: The Business of Talent, on April 22-24 to hear the details.)
Les recruteurs connaissent encore mal les bachelors
Par Gaëlle Ginibrière
Ils situent mal le niveau d’études correspondant à cette formation, mais en soulignent l’expérience professionnelle acquise via les stages.
Avec une croissance des candidatures aux concours, le succès des bachelors auprès des étudiants ne se dément pas. D’ailleurs, les écoles ne s’y trompent pas et ne cessent d’ouvrir de nouveaux programmes. Cette folie des bachelors ne semble cependant pas avoir atteint jusqu’ici les recruteurs.
Regroupant 10 bachelors réunis dans une banque d’épreuves communes, l’association «Atout + 3» a commandé cet automne à l’Ifop un sondage auprès de 405 recruteurs (DRH, responsables de ressources humaines ou responsables du recrutement) d’entreprises de 50 salariés et plus. Résultats? Cette formation reste encore mal appréciée des recruteurs ,même si 80 % d’entre eux déclarent la connaître. La plupart en ont en effet une vision peu précise.