Les efforts pour rendre votre marque employeur cohérente, attractive et visible l’exposent au grand jour et donc la rendent vulnérable aux risques. Et ne pas l’exposer, c’est aussi s’exposer.
Les employés deviennent ambassadeurs. Le site web se lient aux comptes médias sociaux. Les vidéos YouTube ou Vimeo et les photos Instagram fleurissent. Les communications émergent tout azimut. Quand soudain… Un candidat refusé, un employé frustré, un manager maladroit, un patron indélicat ou un partenaire peu éthique peuvent tout gâcher. La bourde peut devenir un cauchemar si l’information devient virale sur les médias sociaux. Si elle est reprise sans fin dans les médias traditionnels, votre image de marque va en prendre un coup.
Le conseil de Jean-Baptiste Audrerie sur le blog Future Talents: ne pas attendre la crise pour gérer la réputation.
Son plan d’action
- Impliquer les dirigeants autour de la table et au coeur du dossier.
- Engager un plan RSE (Responsabilité Sociale de l’Entreprise) incluant les enjeux de réputation de l’entreprise mais aussi de la marque employeur.
- Préciser les valeurs de l’organisation et son code d’éthique.
- Clarifier la gouvernance de la réputation de la marque et de la marque employeur en désignant un comité exécutif.
- Identifier le responsable en charge de la responsabilité de la gestion de la réputation (diagnostic, mesure, plan d’action, alignement, rapport à la direction).
- Établir un plan de réputation de la marque employeur dirigé vers les différentes parties prenantes (actionnaires, clients internes, employés, partenaires RH, candidats, universités et écoles, etc.).
- Former les employés aux usages des médias sociaux et aux risques de fuites ou de mauvaise conduite.
- Définir les acteurs clés dans une gestion de crise avec des scénarios catastrophes et des plans de communication.
- Surveiller l’évolution des critères de la réputation.
Lire l’article de Jean-Baptiste Audrerie “L’e-réputation de votre Marque Employeur sous haute surveillance”