Author: Redaction e-thicHR

Est-ce la fin du top manager belge?

Après UCB, Solvay et tout récemment Bekaert, c’est encore un non-belge qui a été nommé CEO à la tête du BEL20. Cette fois-ci c’est le groupe de distribution belge Delhaize qui a été chercher son CEO hors frontières.  Delhaize fait appel à un Néerlandais, Frans Muller pour diriger le groupe, en ce compris ses activités américaines. Et comme c’était le cas une semaine plus tôt, la question revient : n’était-il pas possible de trouver la bonne pointure en Belgique plutôt que d’aller chercher en Allemagne, dans le groupe Metro (Makro), un Néerlandais capable de relever les défis de croissance de la multinationale familiale belge ?

Autre première en Belgique , comme le note Pascal Jonnaert, chasseur de tête interviewé par Yves Cavalier pour La Libre.be  « Dans le cas de Delhaize, on note aussi que le changement ne vient pas seulement du fait que l’on fasse appel à un CEO de nationalité étrangère mais aussi que l’on fasse appel à quelqu’un qui ne provient pas du cercle des actionnaires familiaux« .

Lire l’article de Yves Cavalier « Ce n’est pas parce que les patrons sont belges »  sur La Libre.be
Lire notre dossier « Les top managers belges à la une: ZiDCard intervient dans les media belges »

Les top managers belges à la une : ZiDCard intervient dans les media belges

Patrons belges d’entreprises publiques surpayés ? Et si on réduit le salaire des patrons du public, ceux-ci vont-ils tous partir dans le privé ? Invasion de patrons étrangers dans les entreprises privées en Belgique ? Question de compétences ou de salaire ? En cette période de rentrée, les Top Managers font la une des médias belges. Jérôme Pittie, Managing Partner de ZiDCard.com, plateforme internationale de chasseurs de tête en ligne, est intervenu en tant qu’expert en recrutement exécutif sur le sujet sur RTL TVi, dans le quotidien belge Le Soir et le quotidien financier et économique L’Echo.

En ce qui concerne le salaire des top managers des entreprises publiques belges, les décisions sont tombées en ce début de semaine. Alors qu’ils touchaient jusqu’à présent entre 500.000 et 2,1 million d’euros par an, la nouvelle mesure prévoit de plafonner le salaire annuel à 290.000 euros. Cette décision fait surgir une autre polémique, celle de la « politisation des postes de direction ». Tous les nouveaux patrons des entreprises publiques seront désormais issus des cabinets politiques… ou d’autres entreprises publiques. En considérant que 2 sociétés du Bel 20 viennent de se trouver un patron étranger, on peut se poser la question : Est-ce la fin du top manager belge dans les grandes entreprises belges ?  Qu’en est-il de l’attractivité des profils belges à l’étranger ?  Sur base de l’expérience développée par ZiDCard.com, Jérôme Pittie répond à ces questions à travers les différentes interviews données dans les media.

Télécharger le PDF  Press clipping ZiDCard– Août 2013

Are you in a "bullshit-job"?

Ever had the feeling that your job might be made up? That the world would keep on turning if you weren’t doing that thing you do 9-5? Why, despite our technological capacities, are we not all working three- to four-hour days? David Graeber explored the phenomenon of bullshit jobs. Everyone who’s employed should read carefully.

He writes
« This is a profound psychological violence here. How can one even begin to speak of dignity in labour when one secretly feels one’s job should not exist? How can it not create a sense of deep rage and resentment. Yet it is the peculiar genius of our society that its rulers have figured out a way, as in the case of the fish-fryers, to ensure that rage is directed precisely against those who actually do get to do meaningful work. For instance: in our society, there seems a general rule that, the more obviously one’s work benefits other people, the less one is likely to be paid for it. Again, an objective measure is hard to find, but one easy way to get a sense is to ask: what would happen were this entire class of people to simply disappear? Say what you like about nurses, garbage collectors, or mechanics, it’s obvious that were they to vanish in a puff of smoke, the results would be immediate and catastrophic. A world without teachers or dock-workers would soon be in trouble, and even one without science fiction writers or ska musicians would clearly be a lesser place. It’s not entirely clear how humanity would suffer were all private equity CEOs, lobbyists, PR researchers, actuaries, telemarketers, bailiffs or legal consultants to similarly vanish. (Many suspect it might markedly improve.) Yet apart from a handful of well-touted exceptions (doctors), the rule holds surprisingly well.

Even more perverse, there seems to be a broad sense that this is the way things should be. This is one of the secret strengths of right-wing populism. You can see it when tabloids whip up resentment against tube workers for paralysing London during contract disputes: the very fact that tube workers can paralyse London shows that their work is actually necessary, but this seems to be precisely what annoys people. It’s even clearer in the US, where Republicans have had remarkable success mobilizing resentment against school teachers, or auto workers (and not, significantly, against the school administrators or auto industry managers who actually cause the problems) for their supposedly bloated wages and benefits. It’s as if they are being told “but you get to teach children! Or make cars! You get to have real jobs! And on top of that you have the nerve to also expect middle-class pensions and health care?”

Read the full article « On the Phenomenon of Bullshit Jobs by David Graeber« , professor of anthropology at the London School of Economics.. The article was published in the recent summer issue of Strike! Magazine, a radical British quarterly that covers politics, philosophy and art.

Jérôme Pittie interviewé par L'Echo sur la tendance à recruter des CEO étrangers en Belgique

Alors que le débat sur les rémunérations des top managers des entreprises publiques fait toujours couler beaucoup d’encre en Belgique, le dirigeants du groupe Bekaert se choisissent un CEO britannique, Matthew Taylor, pour succéder à Bert De Graeve. C’est la 7e société du Bel 20 qui se trouve un patron hors-frontières. Tendance de fond?

Jérôme Pittie, Managing Partner de ZiDCard.com répond à cette question dans l’article de Luc Van Driessche « Les patrons étrangers de plus en plus présents en Belgique » du quotidien belge d’information économique et financière, L’ECHO.

  • Le fait que des sociétés belges aillent chercher des dirigeants hors de nos frontières traduit-il un problème de compétences en Belgique?
  • Les CEO belges sont-il appréciés à l’étranger?
  • Les top managers belges sont-ils obligés de s’expatrier pour gagner plus?

Lire l’article dans l’Echo de  Luc Vandriessche « Les patrons étrangers de plus en plus présents en Belgique »

ZiDCard.com participe HappyLunch© #3 à Liège

Pour sa 3e édition, le HappyLunch©  aura lieu le 17 septembre 2013 à Liège. Cet événement qui réunit dirigeants d’entreprises et responsables de Ressources Humaines  autour de la promotion du bonheur au travail connait un grand succès depuis son lancement le 20 mars dernier lors du BEHappyDay des entreprises. Jérôme Pittie, Managing Partner de ZiDCard.com, première société luxembourgeoise à rejoindre cette initiative, sera présent, convaincu que le bien-être au travail est un axe de développement essentiel pour les entreprises dans les années à venir. HappyLunch©#3 est organisé conjointement par BEHappyDay, Références, Jobsrégion et Peoplesphère dans le cadre du premier Talentum en Région Wallonne.

Plus d’informations sur le HappyLunch©#3 

Lire  pourquoi ZiDCard.com a rejoint cette initiative et voir le film du BEHappyDay 2013.
Lire « Le bonheur en entreprise – des initiatives prises dans les différents coins du monde »